Donner ou pas ses organes après l’aide à mourir? (Le Devoir, avec la participation de Jean-François Lizé, directeur médical à Transplant Québec et intensiviste au CHUM, et de Dre Marie-Chantal Fortin, néphrologue et chercheuse au CHUM )
Selon Transplant Québec, si aucun organe n’a encore été prélevé auprès de patients ayant requis l’aide à mourir, « c’est que la très grande majorité des patients, atteints de cancer en phase terminale, ne peuvent donner leurs organes. Mais des patients atteints de maladies dégénératives, eux, pourraient se qualifier. Dans ces cas, si le patient décide d’aller de l’avant, on a le mot d’ordre de procéder », affirme Jean-François Lizé, directeur médical à Transplant Québec et intensiviste au Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM).
Entrevue avec la Dre Marie-Chantal Fortin: questions d’éthiques entourant l’aide médicale à mourir et le don d’organes (98,5 FM, émission Puisqu’il faut se lever, 22 mars, durée: 06:33)